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Touring

Vous avez séjourné dans le sud de la France cet été? Dans ce cas, vous les avez peut-être repérés. Qui? Nos fidèles patrouilleurs. Photo: Johannes Vande Voorde

Eh oui, Touring était présent dans le sud de la France cet été pour aider les clients en détresse à reprendre la route. Du mont Ventoux aux campings bordant la Méditerranée, nos patrouilleurs étaient sur pied de guerre.

Pour de nombreux Belges, le sud de la France est la destination de vacances par excellence. La plupart d'entre eux s’y rendent au volant de leur voiture et comptent sur nous en cas de pépin.

Nouveauté depuis cet été: les véhicules de dépannage jaunes que vous connaissez bien et nos sympathiques patrouilleurs étaient présents dans le sud de la France. Leur mission: faire en sorte que le client reprenne la route rapidement et facilement. Le dépannage par excellence!


De nombreux avantages

Notre présence sur place cet été a généré bien des avantages. Souvent, il était possible d'effectuer les réparations sur place. Nul besoin de remorquer systématiquement le véhicule, ce qui permettait aussi d'éviter le recours à des véhicules de remplacement.

Nos patrouilleurs disposaient même de leur propre atelier dans le charmant village de l’Isle-sur-la-Sorgue. Remplacer un arbre de cardan, des plaquettes de frein, un alternateur? Pas de souci. Le client pouvait attendre en toute sérénité avant de poursuivre tranquillement ses vacances.


Nous avons envoyé notre photographe sur les routes du sud de la France pendant une semaine. Il est revenu avec une série de clichés qui en disent long. Nos patrouilleurs et garagistes ont aussi pris des photos de leurs aventures sur place. Cinq d’entre eux ont partagé leur expérience avec nous. Compte rendu.


Belgique versus France

Une chose est sûre: le dépannage dans le sud de la France est bien différent du dépannage en Belgique. Pour quelques-uns de nos patrouilleurs, c’était même "leur première fois" dans le Midi.

Arnaud Binamé: "Pour moi, c’était une très chouette aventure, car je n’étais encore jamais allé dans le sud de la France. Se réveiller là-bas pour aller travailler? C’est sûr, ce n’est vraiment pas comparable à la Belgique (rires). Et découvrir de nouveaux coins chaque jour. Inoubliable."

Même son de cloche chez Wim Eeckhout: "J’étais plutôt réticent avant de partir, car je suis plus un ‘homme d’Italie’ (rires). Mais pendant mes trois semaines dans le sud de la France, j’ai pu passer mon temps libre avec ma famille. Et je dois bien avouer qu’un nouveau monde s’est ouvert à nous. C’est une région magnifique."

Jeremiah Bultot: "Pour moi, c’était aussi une première et on ne va pas se mentir: c’était un peu comme des vacances. Dépanner quelqu’un avec vue sur la Méditerranée, c’est sûr, ce n’est vraiment pas pareil qu’aider un client en plein Charleroi (rires)."


Travailler dans le Midi

Touring: Il fallait bien entendu aussi travailler, et ce n’était pas de tout repos. Quelles étaient les grandes différences, hormis le temps radieux et le magnifique environnement?


Sébastien Castelain
: "Les distances à parcourir étaient plus grandes. Mon client le plus proche se trouvait à 50 km, et le plus éloigné, à environ 200 km. En Belgique, 30 km, c’est déjà loin. Mais la principale différence est que nous devions tout faire de A à Z."

Wim: "En effet. Alors qu’en Belgique, nous avons la possibilité de remorquer les véhicules jusqu’au garage ou de faire appel à des collègues, ici, nous devions faire en sorte que nos clients puissent reprendre rapidement la route."

Arnaud: "Nous devions creuser pour trouver des solutions et être très inventifs. En Belgique, nous pouvons nous appuyer sur un réseau plus dense. En France, le remorquage jusqu’à un garage n’était pas une option, car ils avaient tous un planning complet jusqu’à grosso modo fin août."

Jérôme Doussaint, qui travaillait sur place au garage, confirme: "Nos patrouilleurs ont fait du bon travail (rires). Ils ne m’ont pas envoyé beaucoup de clients, mais les quelques clients Touring que nous avons reçus au garage étaient évidemment étonnés d’être aidés par un compatriote. La plupart du temps, ils pouvaient récupérer leur véhicule le jour même ou le lendemain matin. Nous n’avons dû rapatrier personne. Tout le monde était donc gagnant."


Surprise: Touring est en route!

Touring: Le fait que les clients Touring ne savaient pas que des patrouilleurs belges étaient actifs sur les routes du sud de la France a dû conduire à des situations confuses et comiques, non?

Sébastien (rires): "Ils pensaient d’abord que nous étions des Français avec des véhicules belges."

Wim (patrouilleur néerlandophone, ndlr): "Quand j’ai appelé le client pour dire que j’arrivais, il m’a demandé d’un ton impassible si je savais qu’ils étaient en France. C’était très drôle, car ils ne s’attendaient pas à voir un Flamand à cet endroit."

Jeremiah: "Je devais souvent le dire car ils ne le remarquaient pas d’eux-mêmes. Et évidemment, ça les amusait beaucoup de se dire que j’avais fait toute la route depuis Bruxelles pour venir les dépanner. Quand j’appelais les clients pour dire que je ne serais peut-être sur place que dans deux heures, ils réagissaient calmement. Ils allaient se promener ou se baigner en attendant. En vacances, les gens ne sont pas pressés. Quand j’arrivais, ils étaient tout à fait relax, et aussi étonnés de voir apparaître un compatriote."

Arnaud: "J’avais un client qui avait vu ma plaque et qui s’est exclamé: ‘eh bien, il est rapide, Touring’. La glace a tout de suite été brisée."

Wim: "Les gens étaient bien sûr en mode vacances. Donc, s’ils devaient attendre un peu plus longtemps, il n’y avait pas de souci. Un client m’a demandé si j’avais mon maillot avec moi. Je n’avais reçu aucun nouvel appel et il m’a proposé d’attendre chez eux. Je n’avais pas pris mon maillot, dommage!"

Sébastien: "Mon dernier jour de travail, j’avais un dépannage et le lendemain matin, le client m’a envoyé un SMS pour me souhaiter un bon retour. Ça fait plaisir."

Jérôme: "Je travaillais au garage avec un Français. Nous avions chacun notre pont. Et tout à coup, le président du conseil d'administration de Touring se tenait devant moi. Il venait jeter personnellement un œil. En plus, il est arrivé juste au moment où j’aidais un client belge. Donc, c’était aussi un moment spécial pour eux. Enfin, c’en était un pour moi, c’est sûr (rires)."

Un selfie d'Edwin Klaps (à gauche), président du conseil d'administration de Touring, rendant une visite surprise à Collin Vantuycom et Jérôme Doussaint dans notre garage temporaire de l'Isle-sur-la-Sorgue.


Esprit de collégialité

Nos patrouilleurs travaillaient uniquement de jour. Ils avaient donc la possibilité de retrouver les collègues pendant leur temps libre ou après les heures de travail. Et malgré la distance qui les séparait (parfois plus de 200 km), ils trouvaient toujours le moyen de se voir.

Jeremiah: "Pendant mes trois semaines sur place, j’avais six jours de congé, ce qui m’a donné l’occasion de passer du temps avec des collègues que je ne connaissais pas… ou très peu. C’était bon pour l’ambiance de groupe et j’ai aussi beaucoup appris."

Wim: "Je logeais dans le petit village où se trouvait aussi notre garage, ce qui me permettait d’aller de temps en temps donner un coup de main. J’avais donc toujours quelque chose à faire et j’ai appris à mieux connaître mon collègue sur place."

Jérôme: "Le Français avec qui je partageais le garage était un type sympa. Il payait toujours un verre à la fin de la journée de travail, car je logeais à même pas deux minutes du garage. Au garage proprement dit, nous nous entraidions et de par la nature de nos activités, nous avons tissé des liens d’amitié."

Wim va encore plus loin: "En apprenant à mieux connaître les collègues sur place, nous sommes devenus de vrais amis. L’ambiance a tout de suite été bonne; du ‘sang Touring’ coule clairement dans nos veines. Je ne sais pas qui sélectionne les patrouilleurs Touring, mais cette personne fait de l’excellent travail. L’ambiance entre collègues était juste top!"


Nos formules de dépannage

En savoir plus sur notre dépannage en Belgique et à l’étranger? Comparez nos formules. Qui sait, vous rencontrerez peut-être un de nos patrouilleurs sur les routes du sud de la France l’été prochain. Ils vous aideront avec le sourire si vous êtes en panne, et si vous n’avez pas besoin d’aide, faites-leur signe quand vous les voyez passer!

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